Je parle d’une enfance
D’un âge d’innocence
De notre jardin d’école
Plein de fleurs et de roses
Et de ce va et vient d’horloge
Et cette ennuyeuse boussole !
Je parle d’une enfance
Et des vieux murs troués
Couleur d’argile
Jadis c’étaient utile
Hélas ! aujourd’hui tout est verrouillé !
Je parle d’une enfance
Où tout était grand
J’avais les yeux d’un ange
Le monde était blanc
je voyais la vie en rose
Avec les yeux des insouciants !
Je confondais les jours
Et je fusionnais les saisons
Automne hiver été printemps
l’été il y avait de l’eau à mes alentours !
Je parle d’une enfance
De cet enfant de la guerre
A la fenêtre il voyait les éclairs
Cloué tel un statut
Entièrement battu !
Je parle d’une enfance
Et d’un monde en souffrance…
D’un âge d’innocence
De notre jardin d’école
Plein de fleurs et de roses
Et de ce va et vient d’horloge
Et cette ennuyeuse boussole !
Je parle d’une enfance
Et des vieux murs troués
Couleur d’argile
Jadis c’étaient utile
Hélas ! aujourd’hui tout est verrouillé !
Je parle d’une enfance
Où tout était grand
J’avais les yeux d’un ange
Le monde était blanc
je voyais la vie en rose
Avec les yeux des insouciants !
Je confondais les jours
Et je fusionnais les saisons
Automne hiver été printemps
l’été il y avait de l’eau à mes alentours !
Je parle d’une enfance
De cet enfant de la guerre
A la fenêtre il voyait les éclairs
Cloué tel un statut
Entièrement battu !
Je parle d’une enfance
Et d’un monde en souffrance…
LE 19/03/2015