Le chant de l'urne...
Quand chante l'urne sur l'aile du vent,
Il me semble entendre le son de ta voix
Parcourant l'espace de ton firmament,
Mais hélas ! m'envahit un grand froid...
Tout autour de moi le monde s'agite,
Je reste figée, sans but, telle paralysée,
Mon âme cherche la tienne en transit,
Dérivant parmi les voiles de l'éternité...
Le moindre signe venu de ton ailleurs,
Est une caresse sur mon cœur endeuillé,
Me dit qu'enfin, tu as trouvé le meilleur
En l'univers promis, soi disant enchanté...
Le chant de l'urne est tristesse et s'infinit...
Sur les couleurs de ma vie, amputée de toi,
Je n'entends que résonance de l'inassouvi
Où vacille cette flamme qui brûlait en moi...
Quand chante l'urne sur l'aile du vent,
Il me semble entendre le son de ta voix
Parcourant l'espace de ton firmament,
Mais hélas ! m'envahit un grand froid...
Tout autour de moi le monde s'agite,
Je reste figée, sans but, telle paralysée,
Mon âme cherche la tienne en transit,
Dérivant parmi les voiles de l'éternité...
Le moindre signe venu de ton ailleurs,
Est une caresse sur mon cœur endeuillé,
Me dit qu'enfin, tu as trouvé le meilleur
En l'univers promis, soi disant enchanté...
Le chant de l'urne est tristesse et s'infinit...
Sur les couleurs de ma vie, amputée de toi,
Je n'entends que résonance de l'inassouvi
Où vacille cette flamme qui brûlait en moi...
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