Je l'entends dans la nuit, quand règne la noirceur
Qui couvre mon cœur emplit d’ harassement
Assoupi sous son attirance je m'endors en douceur...
Abandonnant mon moi à ce doux apaisement,
Je l'attends chaque soir dans ce lieu écarté
Pour soulager le surplus de mon cœur agité
Il n'y a guère qu'un air qui incite mes envies
Et la douceur du répit qu'il apporte à ma vie.
Malgré son existence, il n’y a plus le calme
Ce n'est qu'une illusion qui abrite notre âme
Au moindre petit bruit il devient une flamme,
Et pourtant il est là, dans ce monde de souffrance
Quand en fin de journée s'offre à nous le silence.
Qui couvre mon cœur emplit d’ harassement
Assoupi sous son attirance je m'endors en douceur...
Abandonnant mon moi à ce doux apaisement,
Je l'attends chaque soir dans ce lieu écarté
Pour soulager le surplus de mon cœur agité
Il n'y a guère qu'un air qui incite mes envies
Et la douceur du répit qu'il apporte à ma vie.
Malgré son existence, il n’y a plus le calme
Ce n'est qu'une illusion qui abrite notre âme
Au moindre petit bruit il devient une flamme,
Et pourtant il est là, dans ce monde de souffrance
Quand en fin de journée s'offre à nous le silence.